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Archives du 21 avril 2015

Agriculteurs et pêcheurs s'unissent pour protéger l’eau en Aubrac

«L’Aubrac est un réservoir qu’il faut préserver, alimentant en eau potable 100 000 habitants du département», a rappelé lundi Jean Valadier, maire de Ste-Geneviève-sur-Argence. Et c’est de l’Argence qu’a ainsi été lancé le premier plan de «restauration morphologie» des cours d’eau en Aveyron. Un projet initié par l’association agréée de pêche et de protection des milieux aquatiques (AAPPMA) de Ste-Geneviève présidée par Henri Mouret qui a permis de fédérer et de démarrer un état des lieux à partir de 2010 chapeauté par Halieutilot. 

Source : http://www.centrepresseaveyron.fr
Ajouté le 21 avril 2015 à 14:19

Côtes-d'Armor - Une soudaine montée du Gouëssant et c'est votre téléphone qui sonne

Un dispositif de surveillance inondations est opérationnel sur le Gouëssant et le Chiffrouët à Lamballe. Ça permet de donner l'alerte sur smartphones et tablettes.

Source : http://www.lepenthievre.fr
Ajouté le 21 avril 2015 à 14:14

Retour sur le comité de pilotage du site Natura 2000 Marais poitevin du 16 avril 2015

Source : http://www.epmp-marais-poitevin.fr
Ajouté le 21 avril 2015 à 14:10

[Québec] La perte de forêts et marais coûte 236 M$ par an

L'étalement urbain des 50 dernières années dans la grande région de Montréal a privé la société de services rendus par les forêts, friches, zones humides et terres agricoles – appelés «services écosystémiques» – dont la valeur est évaluée à près de 12 milliards en dollars d'aujourd'hui.
C'est ce que conclut Jérôme Dupras, qui s'est appliqué à donner une valeur aux biens et services fournis par les écosystèmes naturels et semi-naturels du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) de 1966 à 2010. Il évalue les pertes à 236 M$ sur une base annuelle.

Source : http://www.nouvelles.umontreal.ca
Ajouté le 21 avril 2015 à 13:54

Continuité écologique et restauration morphologique des rivières : 20 études scientifiques face aux mensonges et omissions d'Etat - Hydrauxois

La France, déjà condamnée par l'Europe parce qu'elle n'applique pas correctement les Directives nitrates et ERU, s'enferre dans le dogme de la destruction des moulins et usines à eau au motif de continuité écologique. Un nombre croissant d'études scientifiques montre pourtant que ces mesures ont une efficacité limitée (voire nulle) pour un coût considérable.

Source : http://www.hydrauxois.org
Ajouté le 21 avril 2015 à 09:09

7 000 Sétois vivent en zone inondable

La ville n'est pas à l'abri d'une submersion marine. Dans les secteurs exposés, les propriétaires concernés ont jusqu'au 25 janvier 2017 pour mettre en œuvre des mesures de protection.

Source : http://www.midilibre.fr
Ajouté le 21 avril 2015 à 09:07

Un SAGE sur mon territoire : plus-values et interactions avec d’autres procédures de gestion - Les actes de la journée sont disponibles

L'Association Rivières Rhône-Alpes (ARRA) a organisé, le mardi 3 février 2015 au lac du Bourget (73), une journée technique d'information et d'échanges sur le thème "un SAGE sur mon territoire ?", destinée aux techniciens et chargés de mission des procédures de gestion des milieux aquatiques, aux ingénieurs des collectivités territoriales et des services déconcentrés de l'État, etc. Les actes de cette journée ont récemment été mis en ligne par l'association.

Source : http://www.gesteau.eaufrance.fr
Ajouté le 21 avril 2015 à 08:51

Le Salvador devra-t-il verser 301 millions de dollars pour avoir préféré une eau propre à l'or ?

Une firme minière australo-canadienne poursuit le gouvernement du Salvador devant un tribunal arbitral privé parce que celui-ci lui a refusé une licence minière, en raison des menaces qu’elle représenterait pour les ressources en eau du pays. Un nouvel exemple des problèmes associés aux traités d’investissement et à leurs mécanismes de protection des investisseurs.

Source : http://multinationales.org
Ajouté le 21 avril 2015 à 08:48

[Belgique] Deux chercheurs de l’ULg créent un désherbant 100% naturel

S’intéresser à une bactérie (appelée streptomyces scabies) qui touche les pommes de terre, radis, carottes ou autres navets en faisant apparaître des taches brunâtres et découvrir qu’en réalité, cette même bactérie possède un très fort pouvoir désherbant en libérant une toxine, il fallait le faire. Cette découverte n’est en soi pas neuve. Le problème, c’est qu’il n’existait à l’heure actuelle aucun procédé permettant de produire à grande échelle et, surtout, à un coût économique intéressant, ladite toxine, appelée thaxtomine.

Source : http://www.lesoir.be
Ajouté le 21 avril 2015 à 08:47

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