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Archives du 12 octobre 2017

28novembre2017
24novembre2017

Lettre d'information de l'estuaire de la Seine

N°18, octobre 2017. Dans ce nouveau numéro de la lettre de liaison du GIP Seine-Aval, vous trouverez un « focus » sur les résultats du projet PUBLIC financé dans le cadre du programme de recherche Seine-Aval 5. Ce projet apporte des éléments de réponses à la question que tout acteur de l’estuaire se pose : comment associer le public à l’aménagement des milieux naturels de l’estuaire de la Seine ?

Source : http://www.seine-aval.fr
Ajouté le 12 octobre 2017 à 18:29

Bassin rennais - Des marchés de produits agricoles permettront de protéger la qualité de l’eau

Des marchés publics en échange de la protection des eaux, c’est ce que proposent les membres du syndicat Eau du bassin rennais.

Source : http://www.lagazettedescommunes.com
Ajouté le 12 octobre 2017 à 18:10

22novembre2017

[Belgique] L'eau en Wallonie : abondante, gaspillée et trop chère

En Wallonie, les instances communales et régionale - en plein conflit d'intérêts - refusent systématiquement d'octroyer un permis pour capter l'eau du sol et la consommer localement. Cela pour préserver le monopole des intercommunales et autres sociétés publiques, où gaspillages d'eau et d'argent gonflent inutilement la facture des ménages.

Source : http://www.levif.be
Ajouté le 12 octobre 2017 à 17:50

Stockholm Junior Water Prize

Le SIWI a créé le Stockholm Junior Water Prize pour sensibiliser et encourager les lycéens à s’engager en faveur d’une gestion raisonnée de l’eau pour les générations présentes et futures.

Source : http://www.juniorwaterprize.fr
Ajouté le 12 octobre 2017 à 17:48

Transfert optionnel des compétences eau et assainissement : un rejet par l’Assemblée nationale se profile - Maire-info - AMF

Source : http://www.maire-info.com
Ajouté le 12 octobre 2017 à 17:46

Un manifeste pour des rivières durables - Hydrauxois

L'association Hydrauxois propose à la réflexion nationale des riverains ce texte sur l'avenir des rivières. A l'idée parfois dévoyée et assez pauvre de rivière "sauvage" ou "renaturée", qui inspire depuis une décennie la programmation publique, nous préférons un nouvel horizon : la rivière durable, riche de l'ensemble de ses patrimoines, conciliant l'ensemble de ses usages, préservant l'ensemble de ses potentialités écologiques, gérée en concertation avec l'ensemble de ses riverains. Ce texte exprime aussi une attente de plus en plus forte dans nos sociétés : que la décision publique se rapproche des citoyens, qu'elle suscite et écoute leur parole pour co-construire la décision,  au lieu de s'en éloigner dans un déficit démocratique de plus en plus alarmant. Nous appelons nos consoeurs associatives à une lecture critique du présent texte et à une réflexion collective pour la création d'un label "rivières durables", susceptible de potentialiser nos actions et de proposer aux élus un cadre nouveau de gouvernance pour nos rivières. 

Source : http://www.hydrauxois.org
Ajouté le 12 octobre 2017 à 17:43

Les zones humides ripariennes, puits ou sources de phosphore dans les paysages agricoles ? - Sciences Eaux & Territoires, la revue d'Irstea

Les dispositifs enherbés placés dans les zones humides ripariennes permettent l’interception et la rétention de polluants agricoles, comme le phosphore apporté par l’érosion des parcelles agricoles situées en amont. Cependant, l’accumulation de phosphore dans ces zones présente un risque pour les masses d’eaux superficielles, puisque, comme le montrent les résultats de cette étude, les zones humides sont des bioréacteurs capables de convertir le phosphore particulaire en phosphore dissous. Avec le temps, les zones humides ripariennes peuvent donc passer du statut de puits de phosphore particulaire à celui de sources de phosphore dissous, plus mobile et plus biodisponible.

Source : http://www.set-revue.fr
Ajouté le 12 octobre 2017 à 17:37

Traitement de l'eau : un nouveau biocide biologique pour les tours aéroréfrigérantes en test

Un nouveau traitement des bactéries pourrait bientôt émerger pour les tours aéroréfrigérantes. La Banque européenne d'investissement (BEI) a accordé le financement de 20 millions d'euros à la société Amoéba pour développer une solution biocide biologique (qui cible la légionnelle, pseudomonas, listerias, etc.). L'objectif est de proposer une solution alternative aux produits chimiques traditionnels.

Source : http://www.actu-environnement.com
Ajouté le 12 octobre 2017 à 17:34

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