En Lozère, le causse Méjéan connait depuis de nombreuses années des tensions récurrentes sur le réseau de distribution d’eau potable en période estivale notamment. L’abreuvement des bêtes, s’ajoutant à la consommation de la population locale plus importante en période estivale, devient un enjeu de partage de la ressource pour éviter les difficultés d’approvisionnement en eau potable. Moins de 2 ans après la crise de 2022, la collectivité en charge de l’eau potable a porté le projet collectif de réduction des besoins en eau potable des exploitations agricoles par la substitution des besoins d’abreuvement du cheptel et stratégie globale de sobriété. 36 exploitations agricoles volontaires permettront de réduire de 30% en moyenne les prélèvements sur l’unité de distribution d’eau potable du causse Méjéan avec des économies d’eau potable de l’ordre de 25 000 m3/an.
Ce ruisseau, rectifié et déplacé par le passé, ne présentait plus depuis longtemps de bonnes conditions pour accueillir la faune aquatique.
Les travaux ont alors consisté à redonner au cours d'eau un lit de taille adapté, des méandres, une diversité de fonds et de berges sur 500 mètres linéaires, pour créer des conditions favorables à la vie aquatique bien sûr, mais également à la préservation de la ressource en eau et de l'écosystème humide qui entoure le ruisseau.
Les travaux, réalisés en 2021, ont été portés par l' EPTB, dans le cadre du Contrat de rivière "Vallée du Doubs & territoires associés" pour le compte de la Communauté de Communes des 2 Vallées Vertes, sur la base d'études et de diagnostics menés par la Fédération de Pêche du Doubs.
Cette séquence du forum rivières du réseau TMR 2020 s'intéresse à l'élevage et illustre un partenariat d'acteurs locaux pour instaurer un usage durable de la ressource en eau à l'échelle des exploitations.
Grâce à Jean-Baptiste DECOTTE de la LPO Auvergne-Rhône-Alpes, délégation Isèren, nous partons à la découverte des mares-abreuvoirs de la vallée de la Bourbre. Dans le cadre du Contrat unique pour la préservation et la restauration des milieux de la vallée de la Bourbre, la LPO AuRA, délégation Isère installe des mares chez des agriculteurs, à la fois pour recréer des corridors écologiques, et pour permettre aux bêtes de s'abreuver.
Un magnifique film sur les conditions de vie des nomades touareg de la région d'Agadez (Aderbissinat), où l'Association Les Puits du Désert appuyée par de nombreux partenaires, dont l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse, construit des puits pastoraux pour abreuver les troupeaux.
Une lavogne est un ouvrage traditionnel destiné à recueillir l’eau de pluie dans le but d’abreuver le bétail. Ce sont les agriculteurs qui construisaient ces marres dallées avec des pierres trouvées sur le site. En Provence où l’eau est rare en surface, ces points d’eau jouent un rôle majeur dans la conservation de la biodiversité par la reproduction de nombreuses espèces d’amphibiens dont certaines sont menacées d’extinction, et par l’accueil d’une grande diversité d’animaux sauvages…
Le Contrat de rivière Ourthe, grâce au projet RIPARIA, accompagne les agriculteurs du territoire pour la protection des berges. Une aide est proposée pour le remplissage des demandes de subsides ainsi que dans le choix des abreuvoirs et clôtures à installer.
rop souvent oubliée, l’eau est le premier aliment des animaux d’élevage. En Bourgogne-Franche-Comté, terre d’élevage, la ressource en eau est un réel enjeu d’avenir. Cependant, comme nous le vivons encore cet été, la région est de plus en plus impactée par de périodes de sécheresse intenses. C'est dans ce contexte climatique tendu, que tous les partenaires du projet ASSECC sont heureux de vous transmettre le fruit de leurs travaux : le Guide de l'abreuvement - Pour une meilleure utilisation des ressources et un abreuvement responsable.
Nous espérons que ce document vous accompagnera dans la recherche d'un abreuvement optimal des troupeaux et de préservation de la ressource.
Ouvrages de franchissement : Passage à gué, Passerelle, Arche PEHC. Système d'abreuvement : Descente aménagée, Abreuvement gravitaire, Pompes à museau.
Le besoin exprimé par les éleveurs du département de la Haute-Vienne pour une ressource en eau sûre destinée à l’abreuvement a amené le BRGM à travailler, en collaboration avec la Chambre d’Agriculture et l’Université de Limoges, sur la caractérisation de la ressource en eau contenue dans les altérites meubles.
La Bretagne, région réputée pluvieuse, a été sévèrement touchée à l’été 2022 par une sécheresse qui a sérieusement menacé l’alimentation en eau potable. Pendant cet événement, il existait un risque avéré de rupture d’approvisionnement du fait de l’épuisement des ressources en eau, accentué par le tourisme, la croissance des cultures et l’abreuvement des animaux – plus nombreux que les Bretons eux-mêmes. La Bretagne a certes connu des sécheresses estivales sévères de par le passé (1976, 1989, 2003, 2011, 2017). Mais malgré sa réputation de région humide, ces événements historiquement rares semblent devenir de plus en plus fréquents. Pourquoi, dans une région où il pleut régulièrement, ce risque d’épuisement constitue-t-il désormais une menace ? Le changement climatique est certes en cause, mais cela tient aussi aux spécificités hydrogéologiques du sous-sol breton.
A partir de juillet, le Parc naturel régional de l’Aubrac met en place un programme d’observation participative des rivières. Pour mieux suivre l’évolution des niveaux d’eau, chacun pourra prendre en photo des échelles graduées et l’envoyer simplement par SMS au Parc. Pour démarrer ce programme, un webinaire est ouvert à tous, jeudi 20 juin à 18h.
Mardi 5 décembre, la Chambre régionale d’Agriculture présentait les résultats d’une concertation, lancée au mois de juillet, sur les besoins en eau de l’agriculture corse et leur évolution à dix ans : une étude très attendue, réalisée à la demande de l’État et de la Collectivité de Corse, dans l’optique notamment de mieux dimensionner les investissements futurs.
Depuis l'ère préindustrielle, la fonte des glaciers continue inlassablement. Mais derrière les géants gelés apparaissent de nouveaux écosystèmes primaires, que chercheurs et ONG appellent à préserver avant que l'être humain ne s'en empare.
Pris dans la suite du plan Eau, un arrêté, paru ce 5 juillet, établit le cadre réglementaire national pour la mise en œuvre d’une gestion plus sobre de la ressource en eau au sein des sites industriels en période de sécheresse.
Une tache bleue de moins, sur les centaines qui renvoient leur reflet à l’observateur survolant le Limousin. L’étang du Mazet, à Bussière-Galant, a été effacé. Ce n’est ni un changement majeur dans le paysage de la Haute-Vienne, « ni une révolution », concède Vincent Pereira, mais « cela peut servir de site pilote ».
Elles parsèment nos communes rurales et recèlent des trésors cachés d’une riche biodiversité. Pourtant, de nombreuses mares, zones humides essentielles pour le vivant, ont été laissées à l’abandon, voire détruites au profit de l’urbanisation. A Pressignac, en Charente, des habitants se sont mobilisés pour restaurer ce patrimoine historique et naturel de la commune. Reportage.
Un projet d’arrêté, soumis à consultation jusqu’au 13 juin, vise à établir un cadre réglementaire national dédié pour la mise en œuvre d’une gestion plus sobre de la ressource en eau au sein des sites industriels en période de sécheresse.
La Région va voter un dispositif exceptionnel d’1 million d'€ pour accompagner le monde agricole ainsi que les collectivités qui, comme à Corbère, sont confrontées aux effets de la sécheresse. Cette enveloppe pourra être mobilisée pour l’achat de camions-citernes pour l’approvisionnement en eau potable, ou de citernes, tonnes à eau ou moyen d’abreuvement des troupeaux afin de permettre la montée des animaux à l’estive.
Alors que l’inquiétude ne cesse de croître à l’approche de l’été, les fondements de la catastrophe se trouvent dans l’histoire longue d’un département qui a accumulé les mauvais usages de l’eau.
Vingt-cinq tonnes de mélasse on été déversées accidentellement vendredi dans un petit cours d'eau aveyronnais, l'Audiernes, générant une pollution dont l'impact est en cours d'analyse, a-t-on appris samedi auprès de la préfecture et de l'Office français de la biodiversité (OFB).
Alors que la préfecture invitait mi-avril à adopter "une vision collective et partagée", les professionnels et acteurs concernés par la sécheresse dans la Haute Vallée et le Limouxin se sont réunis cette semaine pour évoquer la situation de l'Aude sur leur territoire. À l'initiative de la réunion, le président du Schéma d'aménagement de gestion de l'eau (Sage), Pierre Bardies, invite l'Etat à prendre des décisions "bien en amont".
Bien que la loi les y oblige depuis un an, les sociétés de réseau de transport n’ont toujours pas équipé gares et stations d’un point d’eau potable gratuit. Elles invoquent des difficultés techniques et économiques.
Vagues de chaleur, sécheresses, pluies torrentielles, le changement climatique va intensifier le nombre d’épisodes climatiques extrêmes. L’année 2022 se caractérise par une sécheresse sans précédent… Quels sont les impacts de ces épisodes et comment en atténuer les conséquences ?
L’Argence Vive, l’Argence Morte, la Selves et le Selvet sont des cours d’eau dont les actions de préservation ont été confiées au Parc naturel de l’Aubrac dans le cadre d’une délégation de maîtrise d’ouvrage de la communauté de communes Aubrac Carladez et Viadène. Démarré en 2015, un premier programme de travaux pour améliorer la qualité de ces cours d’eau et limiter le risque d’inondation se termine en 2022, l’occasion de faire un bilan avant le lancement d’un nouveau programme.
La campagne de soutien d’étiage 2022 a été historique : débutée avec un réservoir de Naussac rempli à 76 % seulement, les premières lâchures ont été particulièrement précoces et le soutien d’étiage intense. Les lâchures se poursuivent encore en ce début octobre et pourraient impacter la campagne 2023.
Quatre mesures d'interdiction sur le Lez et les berges dans six communes de Montpellier et alentour sont prises jusqu'à nouvel ordre, à cause de cyanobactéries.
Source : http://actu.fr Ajouté le 04 juillet 2022 à 17:53
Les forêts sont des écosystèmes en première ligne face à une bonne gestion de l'eau. Les propriétaires forestiers peuvent mettre en oeuvre des pratiques très simples, pour obtenir une eau de bonne qualité, en quantité.
Selon le dernier rapport du Giec, l’humanité dispose de trois ans pour agir si elle veut conserver une planète « vivable ». En ce qui concerne la ressource en eau, l’urgence est encore plus criante. Notre dossier. Pour l'eau, ce « crédit » de trois ans n’existe plus, puisque le déficit est déjà une réalité. Dans le Sud-Ouest, les projections à l’horizon 2050 font froid dans le dos.
Après un hiver et un printemps secs, le risque de pénurie d’eau, au vu du faible débit des rivières, s’avère déjà important en prévision de la période estivale. Les Chambres d’Agriculture de Corse, l’Office hydraulique et l’Odarc, inquiètes, cherchent à anticiper une situation qui pourrait être catastrophique pour l’abreuvement de l’élevage corse.
Les enjeux liés à l’équilibre de la gestion quantitative de la ressource en eau sont de plus en plus prégnants dans le contexte actuel du changement climatique. Le bassin versant de l’Oudon est déjà concerné par des risques de sécheresse et de pénuries estivales d’eau et subit chaque année des restrictions préfectorales d’usage. Une enquête sera prochainement lancée.
La DREAL Normandie a dressé le bilan des projets de forage qui ont fait l’objet d’un examen au cas par cas en 2021. Ce bilan permet d’apprécier, à l’échelle de la Normandie, le poids de chacun des départements ainsi que les volumes prélevés, en fonction des usages (irrigation, abreuvement de cheptels…).
Une petite enquête sur le bassin de l’Agout, dans le Sud-Ouest, significatif de la nouvelle manière de voir l’eau : pour gérer la variabilité nouvelle de la pluie, il ne s’agit plus - seulement - de faire des gros tuyaux et des grands barrages, mais d’entretenir la tourbe et le petit chevelu de ruisseaux.
À mi-chemin entre Saint-Flour et les Monts du Cantal, la narse de Nouvialle, vaste zone humide et havre de biodiversité, est convoitée par deux multinationales souhaitant y ouvrir des carrières de diatomite. Mais ce projet destructeur suscite une vive opposition de la part de la population, bien décidée à protéger son territoire.
14 puits de forage de 250 mètres de profondeur sur une superficie de 20 000 m² située entre les communes de Saumos et du Temple en Gironde. Une station de pompage, des unités de réserves, une station de traitement de l'eau puis 30 km de canalisations via Le Temple, Salaunes, Saint-Médard-en-Jalles, Le Haillan, Martignas-sur-Jalle et Mérignac. Voilà le portrait du projet de champs captant d'eau potable des Landes du Médoc porté par Bordeaux Métropole.
Des travaux initiés par Roannaise de l’eau ont débuté fin août 2021 et dureront jusqu’à mi-septembre 2021 afin de procéder à l’effacement du seuil du Pont de Rhins. L’objectif est de restaurer la continuité écologique du cours d’eau dans le cadre du Contrat Territorial Rhins Rhodon Trambouzan.
La consommation de poissons pêchés dans le Lez est de nouveau autorisée, la pratique des sports nautiques aussi. La pollution aux cyanobactéries est terminée.
Au sortir d'une nouvelle sécheresse, les débats sont relancés sur la gestion de l'Eau et des conflits d'usages, notre EPAGE doit se positionner et initie donc une concertation pour débattre de ce sujet fondamental, des pistes sont lancées !...
Alors que la Côte-d'Or connaît une sécheresse marquée pour la troisième année consécutive, l'intérêt est grandissant pour les retenues d'eau destinées notamment à l'irrigation. Le bassin de Fauverney sert de modèle pour un projet à Quetigny. Le 29 juillet, le préfet Bernard Schmeltz est allé à la rencontre des agriculteurs et des élus des communes concernées.
En Creuse, c’est le ciel qui fait rouler les rivières, gonfle les zones humides et fait couler les robinets. Blotti sur les contreforts du Massif Central, le département intercepte les nuages venus de l’Atlantique, ce qui, dans l’esprit de tous, en a fait une contrée bien arrosée. Mais la nature géologique du sol creusois l’empêche de se constituer une épargne hydrologique. C’est là sa fragilité, décuplée avec le réchauffement climatique. Sans pluie régulière, le pays vert et bleu pourrait vite tourner roussi, sans une goutte d’eau.
La préfecture de Saône-et-Loire a pris son premier arrêté de l'année concernant la sécheresse. Alors que la "situation hydrologique de cette fin avril est similaire à un mois de juillet", plusieurs secteurs du département sont placés en alerte.
Le Conservatoire d'espaces Naturels d'Auvergne finalise un inventaire des zones humides en Haute-Loire, sur le bassin versant de la Loire. Un inventaire qui aura nécessité deux ans de travail et qui devrait permettre de protéger et restaurer ces zones, atouts majeurs face au changement climatique.
À l’embouchure de la Loire, de l’amont de Nantes à Saint-Nazaire, le lit majeur du fleuve est composé de diverses zones humides. Cet espace est le lieu de nombreuses activités palustres, soumises aux aléas du fleuve : variations de débits, marées, flux sédimentaires et biologiques. Une recherche éco-anthropologique est actuellement en cours sur cet espace, visant à décrire certaines pratiques et certains usages, et leur place dans la gestion effective de l’écosystème de la Basse-Loire.
Conscient de la situation, qui pèse de plus en plus sur le monde civil et agricole du Cantal, un protocole vient d’être signé à la préfecture du Cantal. Un plan d’action tripartite, entre Isabelle Sima, préfet du Cantal, Bruno Faure, président du Département et Pascal Escure, président de la chambre d’agriculture du Cantal. Le protocole vise à proposer des solutions pour améliorer la gestion de l’eau.
Source : http://actu.fr Ajouté le 13 février 2020 à 17:24
Aide à l’installation de compteurs verts, aides investissements pour les exploitants et pour les communes, accès au plans d’eau communautaires en cas de sécheresse, dont un à Torcy... C’est une mobilisation en forme de première en France qui a été votée à l’unanimité par les conseillers communautaires. CCM va notamment aider à la création de retenues d’eau, la création de captage par forage et la réalisation de retenue d’eau d’une capacité maximum de 400 m3 ou la création de bassins de rétention issue des toitures.
La communauté d’agglomération Lisieux-Normandie porte un programme de restauration de mares dans le sud pays d’Auge. Vingt-deux chantiers sont engagés en 2019 dans quatre communes.
Source : http://actu.fr Ajouté le 21 octobre 2019 à 19:03
Un plan de suivi à trois niveaux jusqu'à la fin de l'année 2019 : voici ce que préconise l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), pour le programme de surveillance des eaux potables suite à l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen (Seine-Maritime).
Les animaux d'élevage s'abreuvent de moins en moins au cours d'eau en Haute-Vienne. En cause : la dégradation des berges, la contamination par des micro-organismes et la sécheresse. Tout cela pousse les agriculteurs à trouver d'autres solutions d'abreuvement.
Les bêtes et les sols sont-ils pollués ? Après le grave incendie de l'usine chimique Lubrizol à Rouen, la préfecture de Seine-Maritime a gelé la récolte des agriculteurs au nom du principe de précaution. Certains éleveurs doivent jeter des centaines de litres de lait, denrée périssable. Le manque à gagner est énorme pour le secteur agricole, déjà en crise.
Le Gard traverse une situation de sécheresse "exceptionnelle" qui a conduit à placer près de 100 communes en "crise" hydrologique, annonce un communiqué de la préfecture. Selon le site de Propluvia, 85 départements français sont placés mercredi en restrictions d'eau plus ou moins sévères (au delà de la vigilance).
La communauté d'agglomération du Grand Guéret a mis cent pièges à disposition des riverains pour limiter les dégâts du pullulant rongeur qui sape les berges de la rivière Creuse. Entre la libre circulation des truites et l'hydroélectricité, le législateur a tranché. Le point sur les actions sur le contrat territorial des milieux aquatiques Creuse aval.
Cette journée a regroupé les organismes acteurs de la préservation des ces espaces menacés et était ouverte aux gestionnaires de milieux humides et aux élus désireux d'en savoir plus sur les zones humides. Une centaine de participants ont pu échanger autour de la thématique des milieux humides et nous les remercions pour leur présence et leurs précieux apports. Les présentations sont disponibles.
Proposée dans le cadre du SAGE Alagnon, c’est la FDPPMA 15 qui a porté cette étude en 2017, financée à 80 % par l’Agence de l’eau Loire-Bretagne, ainsi que par des fonds spécifiques à des mesures compensatoires des carrières de Virargues (Chemviron France), et des fonds propres du monde de la pêche.
Aide aux agriculteurs permettant la mis en place d’Infrastructures Agro-Ecologiques : haies, mares, bosquets, arbres isolés, mise en défens des berges (et système d’abreuvement en lien).
Nouveau sur le site, une page regroupant les retours d'expériences, classés par thématique. Il en manque encore beaucoup, qui seront ajoutés dans les semaines qui viennent.
Hier matin, le syndicat mixte d’aménagement du bassin de la Gartempe a présenté la réception finale des travaux de restauration de la Brame : la dernière tranche d’un chantier qui a duré plus de deux ans.
L'exploitation bovin-lait de l'établissement de Pamiers convertit une parcelle de 12 ha, correspondant au périmètre rapproché d'un captage d'eau potable, en système de culture agroforestier en agriculture biologique et auto-fertile. Un défi technique et économique riche en implications pédagogiques...
Les collectivités du territoire viennent d’engager un nouveau programme de travaux pour la période 2017-2021. Défini dans la continuité des actions antérieures, il intègre davantage d’opérations de restauration de la morphologie des cours d’eau et d’aménagements liés à la continuité écologique. Son objectif : atteindre le bon état écologique sur la masse d’eau du Dour Ruat – déclassée au titre de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE)– et maintenir le bon état sur l’ensemble des cours d’eau du territoire.
Le préfet a pris, mardi 26 septembre, des mesures exceptionnelles de restriction des usages de l'eau face à une situation de sécheresse inédite pour un début d'automne.
Le président de la chambre régionale d'agriculture, Joseph Colombani, redoute que la production maraîchère, celle des clémentines et l'abreuvement des animaux soient à l'arrêt si la situation de sécheresse devait perdurer
La commission milieux naturels de l'Épab (Établissement public de gestion et d'aménagement de la baie de Douarnenez) fait le bilan des actions menées sur le territoire en faveur de la qualité de l'eau. Petit tour d'horizon.
La préservation des abords des cours d’eau est prise au sérieux par la chambre d’agriculture de la Haute-Vienne. Elle a lancé une opération test et aide les agriculteurs à s’équiper de systèmes d’abreuvement innovants.
"Les Contrats Territoriaux « Arroux-Mesvrin-Drée » et « Bourbince » ont été signés conjointement le 29 Juin dernier à la Mairie Saint-Sernin-du-Bois par les partenaires et acteurs de l'eau de ce territoire. Au total, près de 20 millions d’euros seront mobilisés pour financer les 104 actions inscrites dans ces contrats dont 45 % seront apportés par l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne et 10 % par le Conseil Régional de Bourgogne.
Ce 28 mai 2015 à Lyon a lieu le procès en appel de Monsanto contre Paul François, agriculteur céréalier riverain de la Charente ; et ce 30 mai à Rochefort a lieu une manifestation des opposants à l’incinérateur géant prévu à l’embouchure, suite à l’évacuation de la ZAD d’Echillais : l’occasion de dresser un bilan de l’état des eaux de ce fleuve catégorisé comme étant le plus pollué de France.
A ce jour, environ 14 000 ha de zones humides ont été inventoriés en Ardèche, soit une surface couvrant 2,5% du département. Au coeur des territoires, le Conservatoire d’espaces naturels (Cen) Rhône-Alpes recherche la mobilisation et l’implication volontaire de tous pour la préservation des zones humides. De nombreux projets ont ainsi vu le jour dans le département. La journée mondiale des zones humides, le 2 février 2015, est l’occasion d’en présenter quelques-uns.
Le syndicat d'adduction d'eau potable du Sud Ségala (SIAEP) a mis en place un programme d'équipement en dispositif d'abreuvement sur 12 exploitations agricoles situées en amont du captage d'adduction d'eau potable. Ce programme a été mené avec l'appui du syndicat mixte du bassin de la Rance et du Célé, qui a épaulé le SIAEP, pour définir avec les exploitants agricoles, tous les équipements et démarches nécessaires pour l'exécution des travaux.
L'enjeu de ces travaux de restauration est de maintenir et d'améliorer la fonctionnalité du réseau de mares pour son rôle environnemental (réservoir d'eau), écologique (biodiversité) et sociétal (abreuvement du bétail, paysage, etc.).
LA LISTE DES ETABLISSEMENTS PROPOSANT DES STAGES Consultez la liste de tous les établissements proposant des stages dans les métiers de l'eau, classés par département