En 2005, un large inventaire des zones humides a été mené. Celui-ci a permis l'identification, la hiérarchisation, la restauration et la réhabilitation de nombreux lieux, dont la Prée des Cosses, site emblématique reconnu espace naturel sensible à Saint-André-sur-Sèvre.
Afin de collecter la mémoire du risque inondations, l'EPTB organise une collecte d'informations sur les inondations qui sont survenues sur le bassin versant de la Sèvre Nantaise.
Depuis plusieurs années, le syndicat mixte Etablissement Public Territorial de Bassin (EPTB) de la Sèvre Nantaise se mobilise pour mettre en œuvre un programme d’actions visant la réduction du risque inondation. Jusqu'au 15 janvier 2018, nous invitons la population et les acteurs du bassin versant de la Sèvre Nantaise à répondre à un questionnaire visant à faire le bilan de nos actions et à recenser les besoins du territoire. Ces informations permettront d'identifier les actions les plus utiles à mettre en oeuvre dans les prochaines années pour réduire les risques d'inondation.
Les cours d'eau du bassin font l'objet de suivis réguliers de la qualité de l'eau. Une fois par an, l'EPTB dresse le bilan du respect des objectifs fixés par la Commission Locale de l'Eau dans le SAGE de la Sèvre Nantaise.
Ces contrats ont été finalisés à l’automne 2015 et validés en décembre 2015 par le conseil d’administration de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne. La signature officielle de ces contrats est prévue le lundi 4 juillet 2016. Ces cinq contrats représentent un coût total de 15 M€ sur la période 2015-2019, pour une participation de l’Agence de l’eau d’environ 55%.
Encore trop de pesticides et pas assez de continuité écologique, c'est le constat inquiétant réalisé par l'Etablissement public territorial du bassin de la Sèvre Nantaise chargé de veiller à la bonne santé du cours d'eau et de ses affluents. Résultat : la baignade est toujours interdite par le syndicat mixte qui vient de lancer son second Schéma d'aménagement et de gestion des eaux. Objectif : reconquérir les sites de baignade en mobilisant tous les citoyens contre la pollution des ressources hydrauliques.
L'état écologique de la Sèvre nantaise n'est pas très bon. Un problème d'autant plus important que l'eau potable destinée aux populations y est prélevée directement. 20% des habitants du Choletais la consomment.